On entend beaucoup parler dernièrement de la mémoire cellulaire. Un sujet que je trouve personnellement très intéressant.
La « mémoire cellulaire » est une théorie, controversée, chacun se fera sa propre opinion, selon laquelle des éléments, comme des souvenirs, peuvent être gardés dans la mémoire de notre corps.
Nos cellules auraient donc une capacité à mémoriser et se souvenir de certains événements.
Mais parfois il peut s’agit de souvenirs inconscients ou encore de souvenirs traumatiques, qui restent dans nos cellules.
La transplantation d’organe est venue étayer cette théorie des mémoires cellulaires quand les personnes transplantées ont soudainement développé des goûts nouveaux, musiques, langues, cultures, alimentation, etc
Dans la nature nous pouvons également observer ce phénomène naturel avec les papillons monarques par exemple. Chaque année, ils migrent pour hiverner, en empruntant les mêmes chemins que les années précédentes pour ensuite revenir sur leurs pas pour s’accoupler et mourir. L’année suivante, ils utiliseront le même chemin et répéteront le même schéma.
En 2012, une équipe du Département de la Faculté de médecine de l’Université de Genève a démontré que la maltraitance, les traumatismes, ou situations post-traumatiques, laissent des traces dans l’ADN du sang des victimes jusqu’à la 3ème génération suivante.
C’est-à-dire que le gène a muté et ces traumatismes seraient donc inscrits sur plusieurs générations.
Quand on s’intéresse à nos histoires transgénérationnelles, on peut creuser sur ces symptômes familiaux, tares qui se répètent sans explication évidentes, alcoolisme, drogue, maladies, situations de vies, schémas répétitifs, …
Il faut bien sûre également prendre en compte le poids de la culture familiale et de l’éducation dans le cadre de la transmission de ces mémoires.
Cela laisse à penser sur ce que l’on peut transmettre inconsciemment à nos enfants. D’où l’importance du travail thérapeutique pour nettoyer nos mémoires, nos cellules, pour nous mais aussi pour les générations à venir.
Nos mémoires peuvent se réveiller et on peut travailler dessus, qu’elles soient personnelles transmises ou inconscientes car bloquées par un traumatisme, des croyances, des conditionnements.
Si la mémoire doit remonter à la conscience, elle remontera d’une façon écologique pour la personne, tout sera mis en place par le corps et l’esprit pour que cela soit au bon moment pour la personne de le revivre, si elle y est prête.
Il est important de ne pas aller trop vite, ne pas forcer. Cela peut prendre des années mais ce processus de libération émotionnelle est nécessaire pour se libérer.
D’où l’importance d’être bien accompagné.e.s dans ce processus thérapeutique et de travail sur soi.
Les différents outils que j’utilise pour travailler sur les mémoires cellulaires sont :
- Kinésiosiologie, notamment la Récession d’Age
- La Somatothérapie, pourvlaisser le corps s’exprimer et guider selon les ressentis
- L’astrologie en Mémoire Cellulaire, on peut étudier le thème astral de la personne depuis la conception, les mois précédents puis durant la grossesse
Il existe encore bien d’autres outils à disposition comme l’EMDR (Eyes Movement Desensitization and Reprocessing) , l’EFT (Emotional Freedom Technique) ou encore l’hypnose.
